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Passages Obscurs

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LP102

Les 5 cheminées de la centrale électrique de Gröningen

Les 5 cheminées de la centrale électrique de Gröningen

Localisation: Gröningen - Pays-Bas.

Destination: Mylos.

Découvreur:
Joseph le Perdriel et Alphonse Postelieu.

Passeur: Non.

Statut: Détruit.

Moyen: Passage.

Notes:

Voir l'article dans
Voir l'article dans 'The Light'

 
   La ville de Gröningen aux Pays-Bas semble faire partie de ces villes aux multiples connexions vers le continent obscur, de plus en plus nombreuses sur notre monde. Cette ville possède en effet un autre lieu de Passage probable, son musée de la Bande Dessinée.

   Les cinq cheminées de la centrale électrique de Gröningen furent détruites en 1998 à la dynamite. L'évènement attira de nombreux spectateurs. Ce fait somme toute assez divers aurait pu rester ignorer de tous les obscurologues si un témoignage capital et une preuve quasi irréfutable n'avait démontré que ces 5 cheminées étaient bel et bien un lieu de Passage.

   Ce fut Joseph le Perdriel dans son témoignage en forme de testament qui le premier dénonça la probable existence d'un lieu de Passage à cet endroit. Il le découvrit grâce aux confidences d'Alphonse Postelieu qui avait une grande connaissance du Passage à cet endroit. Pourtant, Joseph le Perdriel n'eut jamais l'occasion d'y tenter le Passage et il disparu sur le continent obscur sans nous révéler le lieu de son Passage.

   Il existerait toutefois une preuve quasi irréfutable. "La Lumière", le journal de Michel Ardan aurait édité une édition spéciale concernant la chute des 5 cheminées. Selon les fragments dont nous disposons, Michel Ardan se serait rendus lui-même sur notre monde par un Passage se trouvant sur l'île d'Yliaster (et dont on ne connaît pas l'issue de notre coté). Il aurait assisté a toute la scène et aurait même surpris la présence d'un inspecteur de Mylos sur les lieux. La présence de cet inspecteur aurait permis d'imaginer que la destruction des cinq cheminées avaient été organisée conjointement par les autorités de notre monde et celle de Mylos afin une fois de plus de limiter les connexions entre les mondes clairs et obscurs.

   Bien que l'authenticité de cette édition de "La Lumière" n'ait pas pu être établie avec certitude, on y reconnaît aisément le style littéraire propre à Michel Ardan. Malheureusement, la centrale ayant été détruite, rien ne permettra plus de vérifier cette hypothèse...